Arméria Renaissance


 
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 ~¤~ Sur les traces du passé ~¤~

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Vlad Himei

Vlad Himei
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MessageSujet: ~¤~ Sur les traces du passé ~¤~   ~¤~ Sur les traces du passé ~¤~ EmptyMar 27 Oct - 11:15

Une belle nuit. Dans les affres d’une forêt mystiques, sous le drap des cimes hautaines, se jouait l’incongruité d’une scène que d’autres auraient nommé impudeur. Nu, dans la plus parfaite indolence, une égérie de temps oubliés plongea les langueurs sculpturales de son être dans les ondées calmes et claires de la rivière. Pas d’un sursaut, pas même d’éclaboussures, ne s’offusqua la surface miroitante où baliveaux miraient leurs bras et branches aux ramures magistrales. C’était un ruisseau où affleuraient les veines du cœur d’un volcan. Chauds, bouillants par endroit, des courants se mêlaient paresseusement au galbe des rives, où bêchaient les têtes lourdes de somptueux roseaux, courbés sur les eaux comme des voyeurs indiscrets.
D’un coup de talon, une poussée puissante des bras, le nageur s’élança dans le lointain aqueux. Sa longue chevelure, semblable à des geysers d’encre, traçait son sillage de souvenirs envahissants. Prenait son envol en même temps qu’il s’égarait, revenait en coupole de jais autour de son noble front à ses arrêts.

Le silence, la paix du fond marin, le berçait de la douce illusion de n’être plus rien. Rien qu’une goutte de pluie parmi les milliers dont s’était anobli ce début de nuit, et dont ne restaient que les quelques égarées retenues sur la folle végétation de la pernicieuse forêt. Penser, lui semblait désuet, de l’autre côté du miroir, tandis qu’ouvrant précautionneusement les yeux en quête d’un avant, ne lui restait que le faisceau infime des lucioles capricieuses, tapissant la voûte céleste au gré de ceux qu’elles charmaient de leur clin d’œil. Rieuses et petites, elles se jouaient des pauvres hères dont elles gageaient du sort, comme de parfaites marionnettistes dont on ne comprend pas bien les desseins, mais que l’on ne peut s’empêcher d’observer, d’étudier, de percer les mystères et parfois, d’y perdre une vie entière.
Il referma ses paupières perdantes. Trop longue et épuisante avait été l’espérance de trouver enfin des réponses aux expectations de son soi passé. Une pause, une probation dans son engouement, c’était tout ce qu’il voulait.

Mais la rumeur de pas calfeutrés par la terre, raviva soudain la résilience de ses instincts. Si loin, et pourtant trop proche pour être ignorée, une présence s’invitait dans l’abîme de l’oublié. Fervent esthète des subtilités du danger, amant des inconscients qui furètent dans l’aveugle, il écoute tendrement le bruit de l’arrogance, à se prêter si impunément un ton, une senteur, une vision peut-être au souverain sanglant.
Lentement, sans perturber l’immobilité des eaux, le prédateur parut à la surface comme un reptile en chasse. La froideur de son regard, d’abord, sonda l’écho alentour, percevant la raideur aux aguets de son audience boisée. Les mille arômes d’un bouquet d’essences immolèrent alors sa perception olfactive. C’était au mieux entêtant, au pire éprouvant pour celui qui s’efforçait à la méditation du silence, de la paix.

Quelques secondes patientèrent qu’il daigne enfin émerger la perfection diaphane de sa corpulence musculeuse. La clameur d’une profuse cascade chutant le long du versant ferme et étroit de ses reins pétrifia les réceptifs dans la surprise de l’éveil, déclencha le talonnement de quelques fuites invisibles. Sa peau niellée de ruissellements glacés semblait luire comme un voile de nacre, comme si la rivière cherchait à le retenir de ses longues mèches fluides. Il n’en eut cure, se délassant noblement des dernières résurgences aqueuses qui se rassérénèrent une fois leur occupant sorti. L’émergence du parfum musqué de son derme froid acheva de convaincre les dernières proies, promptes à défier sa suprématie sur ce bout de forêt dont il s’était fait le roi. Celui qui, en ce bas monde, ne craignait rien n’avait pas besoin de le taire plus longuement à l’impudent qui entendait gâcher son repos. Il saisit par la couture son noir falzar qu’il enfila d’un même mouvement, boucla sous son nombril la griffe d’argent qui en paraît le devant. La blancheur opalescente d’une chemise de lin souple se cloqua de tâches plus sombres au contact gorgé de sa peau, alourdissant ses pans qui coulèrent lascivement le long de ses hanches longues.


« Sors de là… » L’irrévérence de son timbre traînant vibra dans tout le marasme végétal. Qui allait au devant de sa léthargie, qui s’exposait à l’aigreur suzeraine.

Avec la même lenteur qui l’avait étreint pour récupérer ses vêtements, il associa sa ceinture au manche de ses poignards damasquinés. Un grondement chatoyant agita les feuillages sous lesquels balbutiait la confrontation. Oui, c’était une belle nuit qui s’annonçait.
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MessageSujet: Re: ~¤~ Sur les traces du passé ~¤~   ~¤~ Sur les traces du passé ~¤~ EmptyMer 29 Juin - 13:51


« Sur les traces du passé. »
Elsa & Vlad

Douce nuit. Enveloppant en son cœur cette délicieuse obscurité et cette tendre fraîcheur, et au milieu de cette impétueuse forêt aux airs mystiques, tapis dans l'ombre, se dresse un majestueux prédateur dont le regard perçant semble sonder les environs.
Le sifflement du vent couvre le bruit de ses pas légers, alors que la brise fait doucereusement onduler son pelage d'or.
Serpentant entre les éléments, l'animal finit par sortir de l'ombre. Laissant les rayons de la lune miroités sur sa fourrure blonde, la louve apparut dans toute sa splendeur.

Prédateur en chasse, la bête suivait la trace d'un petit animal en fuite. La dense végétation offrait une cachette idéale à la bestiole qui savait en tirer avantage, mais son odeur facilement discernable permettait à la louve de ne pas perdre la trace de sa proie qu'elle traquait avec ferveur.
Une promenade nocturne qui s'était très rapidement transformée en réelle traque, Elsa pouvait presque le jurer elle aurait la peau de ce microbe.
Ce fennec se payait vraiment sa tête et ce depuis qu'il avait pointé le bout de sa truffe dans sa vie et voilà qu'il lui menait encore la vie dure.

Il s'éloignait éternellement et à son plus grand désarroi, Snow était loin d'être assez stupide pour se faire coincer par la louve qui commençait à perdre patience et dont le regard ne cessait de s'assombrir à chaque pas, qui la rapprochait un peu plus du cœur boisé.
Suivant la piste de son fennec, Elsa s'arrêta dans sa course et fit remuer ses oreilles. Elle avait perçu un bruit. Ce n'était pas d'origine animale et c'est bien ce qui avait attiré son attention.
Le mouvement de l'eau.
S'aventurant plus profondément dans les bois à la recherche de la source d'eau, son odorat affiné indiqua aussi à la louve que sa proie avait elle aussi suivit cette voie.

Abordant discrètement la rive opposée, les iris d'émeraudes accrochèrent la silhouette d'un homme qui semblait fuir le cour d'eau. Sa voix s'éleva et vibra dans l'air durement.
Il n'aurait jamais dû faire cela.
Le petit fennec, toujours aussi hostile aux inconnus s'extirpa du feuillage tout en grondant, oreilles plaqués vers l'arrière sur la tête.
Le microbe était certes petit, mais il avait du mordant. Elsa n'avait pas spécialement envie d'avoir des problèmes à cause de lui, elle en avait déjà bien assez comme ça.

N'écoutant plus que son instinct, la louve plongea dans l'eau. L'ombre qu'elle formait sous la surface de l'eau commença alors à se transformer tout en se laissant glisser sous le courant.
Rejoignant assez rapidement l'autre rive, Elsa se redressa impérialement. L'eau cachait une partie de son intimité, alors que sa longue chevelure dorée retombait indécemment sur sa poitrine. L'eau perlait sur son corps, tout en suivant ses courbes sensuelles.
Son regard se posa lourdement sur l'animal qui changea immédiatement d'attitude en présence de sa maîtresse.

« Je ne sais pas ce qui me retient encore de te faire la peau. »

Le petit fennec se coucha d'un air coupable, scrutant sa maîtresse d'un air martyr alors que son regard verdoyant ne semblait pas s'adoucir.
Posant une main sur sa hanche, Elsa s'autorisa un coup d’œil vers l'étranger d'une manière désinvolte. Un vampire.

« J’interrompe peut-être quelque chose, si c'est le cas, vous m'en voyez presque désolée. »

C'était une vérité, Elsa était désolée parce qu'il fallait qu'elle soit désolée, mais d'une autre part, elle s'en foutait complètement. Depuis quand s'occupait-elle d'importuner les autres ?
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Vlad Himei

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MessageSujet: Re: ~¤~ Sur les traces du passé ~¤~   ~¤~ Sur les traces du passé ~¤~ EmptyVen 1 Juil - 12:19

Il laisse faire. Il laisse approcher.

Dans les yeux vitreux de l’animal, une vie d’insignifiance défile. Trop de salive, trop d’efforts déployés pour un instant de Rien. Un moment de gloire qui pourrait en un clignement de cil voir un fil se couper. L’impulsivité et ses traitres conseils tirent un sourire dangereux à l’Albâtre. Par expérience, il sait que les bêtes sont infiniment plus intelligentes que les Hommes, certains appellent ‘instincts’ ce sursaut d’esprit qui fait toute la différence entre ceux qui se cachent et ceux qui crèvent, mais les animaux ne sont pas qu’instincts. Les animaux savent que le danger n’est qu’un spectre, planant sagement parmi les insouciants. Inoffensif, tant qu’on ne recherche pas sa compagnie. Un spectre joueur qui parfois, tend une main perfide, qui se refermerait sans scrupule sur une effusion de chair et de petits poils neige.
Les animaux s’éduquent rapidement à la fuir, à sentir les relents de nécroses qui dégoulinent des muscles pâles et mal séchés, s’évader sous la brûlure rouge d’un regard affamé. Les humains sont souvent moins sagaces.
Nul doute que ce petit énervé-là a dû passer de longues années à leur côté.

Le prédateur tend son corps, ouvre sa gueule, jaillit sur sa proie.

Un poignard d’argent fuse dans l’air pour se planter dans le crâne reptilien, juste entre les yeux rouges, les crochets venimeux destinés à la nuque du fennec enfoncés dans le sol à quelques centimètres du pelage blanc. Assagis.

Les pas nus du Noctambule froissent le tapis de feuilles mortes pour aller arracher la dague de la tête de la vipère. Genou en terre, sa paume caresse amoureusement les écailles nacrées du malheureux reptile, avant qu’il ne relève l’acier aiguisé de son regard sur le fennec.

« C’était moins une. » Les lèvres plissées sur un rictus amène.

L’Infant porte la dague à ses lèvres en revenant tranquillement vers son vétuste campement, goute du bout de la langue le sang reptilien. Une grimace déforme ses traits sous l’offrande infâme, dévoilant l’éclat luisant de deux canines bien trop longues pour etre humaines.
Le reste de l’essence terminera sa putréfaction sur le plat des feuilles d’un platane, permettant à l’acier mortel de retrouver propreté et dignité avant d’être enfoui dans les profondeurs de son fourreau.

Indifférent aux sournoises excuses qui s’invitent dans son silence, l’Albâtre ne regarde pas. Il dévie volontairement son attention des exubérances de chair qui s’impatientent, s’extasient, réclament le coup d’œil perdu, et s’offensent du refus sous les timides filins dorés.

Interrompre. Le choix du terme lui dérobe un bref rire. Qu’il est présomptueux de se croire si important qu’on ait la capacité d’interrompre. Que sa seule présence achève le déroulement normal de ce qui est, de ce qui dépasse notre entendement. L’Immortel pardonne l’offense, chasse d’une moue tolérante l’erreur, ça n’est pas important. Il ne faisait rien d’important, rien qu’il considère comme même digne d’avoir été interrompu.
Enfin, il fait face à l’appel. Les jambes se plient, Roi s’abaissant au niveau de ses sujets, et dans les lignes masculines de son visage s’inscrit une fondamentale vérité. Elle le voit car il s’est laissé voir, dans les profondeurs intimes de cette forêt où toute âme sensée s’est depuis longtemps éclipsée hors de sa prestance. Elle est proche, car il l’a invitée dans le territoire qui est sien ce soir.  
Vlad contemple à présent l’ouvrage de sensualité, baisse le regard, juste un peu, s’arrête sur les lèvres, sur la gorge, puis remonte dans les yeux, et offrant son plus aimable sourire, hoche la tête pour réfuter.

« Il n’y a rien à pardonner, je sortais tout juste. Mais si je me suis mis en travers d’une trépidante partie de chasse, vous m’en voyez profondément confus. »

Le même ton cynique, le même timbre blanc maquillant l’hypocrisie. L’Impie ne bouge pas, force tranquille statufiée dans le marbre, il observe, il écoute.

« A moins que vous ne soyez là pour autre chose… le plaisir de la vue, peut-être ? »

Son noble front où quelques longues mèches noires sont ramenées en rideau pudique sur un côté se penche, un sourire flatté venant embellir son petit air favori d’arrogance distraite.
Et dans son iris de cendre glacée, une autre impitoyable vérité. Elle vit car il la laisse vivre.


Dernière édition par Vlad Himei le Jeu 7 Juil - 14:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ~¤~ Sur les traces du passé ~¤~   ~¤~ Sur les traces du passé ~¤~ EmptyMer 6 Juil - 10:28


« Sur les traces du passé. »
Elsa & Vlad

L'arme fendit l'air à vive allure, avant que la lame ne s'enfonce dans le crâne du toxique prédateur. Elsa hésitait entre applaudir pour cet exploit ou simplement juger avec dégoût ce qui s'en suivit... Le choix s'imposa très rapidement à la louve.
Applaudir serait mal vu. D'une impolitesse irritante.
Ce n'était pas vraiment l'instant idéal pour défier un vampire de son impertinence habituelle, de son franc parlé trop mordant. Non, ce n'était vraiment pas un choix pertinent.

L'observer n'était pas non plus le spectacle le plus avenant. Un teint trop blafard, des canines trop longues et du sang perlant sur sa langue...
Si quelqu'un avait encore des doutes sur son appartenance à l'espèce obscure et sanguinaire, eh bien l'on venait de les dissiper dans un souffle discret et léger.
Il était un être de la nuit et un arrogant prédateur dont le rire bref arracha un rictus à la louve. Irritant.

Il y avait plusieurs type de vampire. Et celui ci appartenait sûrement à la pire d'entre tous. Son attitude trop hautaine et snobinarde était l'essence même d'une éducation noble. Et pourtant il s'abaisse face à elle. Quelle insulte de se croire suffisamment important qu'il faille se rabaisser à son niveau pour qu'il y ait un point d'équilibre. Une égalité.
Les vampires sont pour la plupart trop orgueilleux pour cerner la triste vérité de leur existence en ces terres.
Ils n'ont rien de plus que les autres. Ils ne sont rien. Rien de plus qu'une entité de chair et de sang frais. Une poussière parmi tant d'autre.
Et ce n'est pas son regard métallique courant sur peau délicieusement offerte qui en fera quelqu'un.
Aucune pièce n'est importante sur le plateau parce qu'en ces lieux, il n'est rien, ni personne. Et ce sourire trouble qu'il affichait ne lui offrirait aucun droit de plus.

Le regard las de la blonde balaya toute trace de confusion. S'il se croyait important, elle allait lui faire comprendre qu'il n'en était rien. Et tout cela commençait par cette indifférence profonde née dans ses iris de jade.

« Elle se serait bien vite évanouie. Pas de quoi vous sentir concerné. »

Non. En effet, il n'était pas concerné. Il n'avait rien à voir avec cette chasse ouverte, il n'existait même pas au sein de cette dernière. Il existait à peine à ses yeux.
S'éloignant déjà sur ces mots, la dorée se décida enfin à rejoindre la berge, récupérant les affaires dérobées par le petit animal. Dissimulée derrière la dense végétation, Elsa gardait son intimé privée, avant de s'écarter des ronciers.
Elle sentait déjà l'eau s'insinuer dans le tissu de son débardeur sous la lourdeur de ses mèches imbibées. Elle retrouva alors l'inconnu sur sa propre rive.

« Le plaisir de la vue ? »

Faisant voguer son regard sur les alentours, la louve pencha doucement la tête.

« Il est vrai que ce lieu est plaisant à voir... »

Elle n'allait certainement pas lui offrir l'honneur d'être complimenté par dessus le marché. Beauté, supériorité... Y avait-il une chose qu'il ne pensait pas posséder ?

Les types dans son genre, ont besoin d'être remis à leur place de temps à autre. Et sans avoir besoin de forcer, Elsa sait ramener les gens sur Terre, au profit de son caractère de merde qui rappelle aux Hommes qu'ils ne sont rien si ce n'est de passage en ces terres.

« ...mais je n'étais pas là pour la vue. J'achevais ma balade, tout simplement. »

Insignifiant. Il n'est qu'un imprévu sur la route.
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