Arméria Renaissance


 
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 Louise Sylfanir

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Louise Sylfanir

Louise Sylfanir
Messages : 507
Date d'inscription : 01/02/2015
Age : 27

Feuille de personnage
Guilde: sans guilde
Rang dans la Guilde: gardienne du temple
Place dans la hiérarchie de sa Race: nymphe lambda
Louise Sylfanir Empty
MessageSujet: Louise Sylfanir   Louise Sylfanir EmptyMar 3 Fév - 23:22

Louise Sylfanir

Donner permet de prouver qu'on existe



ID Card
Âge : 19 ans
Sexe : Féminin
Orientation sexuelle : Hétéro
Espèce : Nyphe
Métier : Gardienne du temple
Origines : Un endroit bien caché des humains
Familier : Nyx, Lynx roux
Aptitudes : Don de flux vital très bien maitrisé et Protection (gain au voteur du mois de juin)
Personnage sur l'avatar : Yui Komori (Diabolik Lovers)

Physique


En digne représentent de sa race on peut dire que Louise est jolie. Il émane d’elle une aura de douceur et de pureté assez exceptionnelle. De taille moyenne la jeune femme est bien faite, des jambes fines, des courbes taille/hanches harmonieuses et une poitrine juste comme il faut. Sa peau est douce et claire donnant une impression de fragilité comme une poupée de porcelaine. Son joli minois est encadré de bouclettes d’un blond très clair qui lui tombe légèrement sur les épaules. Ses yeux rappellent les fleurs colorés de par leur teinte rose qui tranche avec la clarté de sa peau et de ses cheveux. De jolies lèvres bien dessinés et délicatement rosés finissent d’orner ce visage en l’éclairant bien souvent d’un magnifique sourire. En effet la nymphe sourit la plupart du temps, le genre de sourire qui vient du fond du cœur et qui saurait toucher les gens au travers de leur carapace. Très expressive la nymphe montre ses sentiments assez facilement, notamment la joie, l’inquiétude et plus rarement la peine. Niveau vestimentaire Louise est très féminine, le plus souvent en jupes ou en robes, avec des hauts à bretelles ou dévoilant ses délicates épaules. Par contre on la voit rarement avec des chaussures, à vrai dire uniquement si elle va en ville. La demoiselle préfère, dit-elle, sentir l’herbe tendre sous ses pieds. Étrangement ces derniers sont toujours délicats, comme si la nature évitait de les blesser. Cette manie de ne pas se chausser permet que la marque du gardien soit toujours visible chez elle. En effet les courbes d’un rouge foncé ornent sa cheville droite, côté extérieur, descendant jusque sur la malléole.  

Caractère


Louise est ce qu’on peut appeler une âme généreuse. Elle a un sens du don de soi et du sacrifice très développé, en clair elle préfèrera toujours être blessée que blesser quelqu’un. Par exemple elle n’hésitera pas à donner de son flux vital à quelqu’un qui en a besoin, donner sans espérer recevoir est une notion qu’elle a très bien assimilée. La nymphe déteste l’égoïsme aussi n’en a-t-elle pas une once, de même qu’elle n’a jamais ressenti la jalousie ou la haine. La demoiselle est ce que l’on pourrait appeler candide, naïve pour certains, mais cela n’a rien à voir avec son caractère et s’explique par le fait qu’elle ne connait presque rien du monde qui l’entoure. Aussi n’est-il pas rare de la voir adopter un comportement peu commun, imaginez un peu une enfant qui n’est jamais sortie et emmenez là dans une ville pleine de vie et de lumière, c’est un peu Louise. Contrairement à l’éducation qu’elle a reçu c’est une personne curieuse et qui meurt d’envie de découvrir ce monde qu’on lui a trop longtemps caché. Pour autant elle sait respecter la vie privée des gens et n’est pas indiscrète. Pour finir la jeune femme est d’un naturel optimiste et respire la joie de vivre aussi sourit-elle la plus part du temps. Et quand ça ne vas pas sourire est une bonne manière de n’embêter personne avec ses soucis.

Histoire


Louise a vu le jour dans une communauté de nymphes vivant dans le respect des traditions. Mais chose rare l’enfant était le fruit d’un véritable amour. Pourtant elle ne vit jamais sa mère. La petite nymphe fût élevée par l’ensemble de la communauté comme le veut la tradition, mais la matriarche y veillait particulièrement car l’enfant n’était autre que sa petite fille. Dès tout bébé elle fût surprenante, pleurant très rarement elle riait et gazouillait sans arrêt. En grandissant l’enfant ne perdit rien de sa bonne humeur. Jusque-là rien n’aurait pût contrarier la matriarche, si ce n’est sa curiosité débordante. Car la petite communauté vivait au cœur de la nature, mais on est jamais bien loin des villes, et comment empêcher un enfant de vouloir découvrir ce monde. Son éducation se durcit donc un peu. Durant de nombreuses années on lui enseigna qu’elle ne devait pas avoir de contact avec les humains, que ces derniers étaient des êtres impurs et que les côtoyer pervertirait son âme. Mais Louise n’était pas du genre à se satisfaire de pareilles explications et ses « pourquoi ? » restaient bien souvent sans réponses.
Un jour la jeune demoiselle alla voir la matriarche car une nouvelle question la taraudait. Où était sa mère ? Question qui ne plût pas du tout et qui fût éludée, et ce pendant un moment. Jusqu’au jour où la matriarche se mit en colère, agacée d’entendre toujours la même chose.
« Ta mère a quitté la communauté car elle a trahis nos valeurs. »
Une simple phrase, Louise n’obtint rien de plus. Mais sa mère était vivante, était partie, mais pourquoi l’avoir laissé là. Une réponse amenait tant de questions à sa suite. Or l’endroit où elle vivait l’enfermait l’ignorance pour l’empêcher de bouger.
Les années s’écoulèrent et on s’étonnait encore de cette enfant qui se révéla être plus puissante qu’on ne le pensait, en effet ses capacités se réveillèrent plus tôt que la normale, de même qu’elle les maitrisa rapidement. Pour éviter que la jeune fille ne se disperse dans ses questionnements bien trop nombreux on faisait en sorte de bien occuper son temps. Aussi la demoiselle aidait en cuisine et aux tâches ménagères, mais c’est dans les travaux botaniques qu’elle se démarqua. Qu’à cela ne tienne, on lui confia donc du travail aux jardins.
Mais même si les adultes pensaient avoir annihilé cette facette du caractère de Louise elles se trompaient. Un soir la jeune fille, car elle devait avoir environ 15 ans, s’introduisit dans le bureau de la matriarche. Elle savait qu’elle y tenait des registres et il fallait qu’elle sache. A la lueur des bougies elle trouva le carnet et feuilleta l’année de sa naissance. La vérité lui fût enfin révélée, sa mère éprise d’un humain s’était liée à ce dernier et avait donc dût quitter la communauté pour vivre à ses côtés. La nymphe fût soulagée dans un sens de savoir que sa mère avait suivi son cœur et était probablement heureuse. Mais dans ce cas pourquoi ne pas l’avoir emmené elle aussi ? La porte du bureau s’ouvrit en faisant sursauter la nymphe. La matriarche entra et devint rouge de colère en voyant Louise.
- Que fais-tu là le nez dans mes affaires.
On pourrait croire que la demoiselle allait se confondre en excuses, mais elle posa le carnet calmement et se redressa en soutenant le regard de sa grand-mère. Ce qui décontenança un peu cette dernière.
- Je ne peux rester sans réponses quant à mes origines, et puisque durant toutes ces années vous n’avez rien voulu me dire je suis venu trouver les réponses moi-même.
- Tu m’as désobéi, tu as conscience de l’affront que tu me fais ? Tu réalises que la sanction sera lourde ?
- J’accepterais la punition quelle qu’elle soit, mais dites-moi pourquoi mère ne m’as pas emmené avec elle ? Je ne peux croire qu’elle m’ait abandonné alors qu’elle nourrissait des sentiments si purs pour mon père…
- Des sentiments purs ? Les sentiments amoureux sont une hérésie, il n’existe rien de tel dans ce monde. Les hommes ne sont bon qu’à perpétuer la lignée, ta mère s’est laissée embobiner par les belles paroles de cet humain qui lui a passé des chaines.
La matriarche marqua une pause durant laquelle notre demoiselle réprima une mine de dégout. La procréation pour perpétuer la lignée, un monde sans amour, si c’était vrai alors ils n’étaient pas plus civilisés que des animaux. Et elle refusait d’y croire.
- Quant au fait que tu es resté, je ne pouvais laisser ta mère emmener ma petite fille dans ce monde de décadence. Aussi je t’ai élevé à sa place. Te perdre était sa punition pour avoir trahis nos principes.
Le ton était plat, comme si elle n’éprouvait aucun remords. Louise ouvrit de grands yeux choqués, cette femme l’avait arraché à sa mère pour la punir ?! Se rendait-elle compte de la portée de ses actes ? Elle avait probablement brisé le cœur de sa propre fille et contraint sa petite fille à être à jamais privée d’amour maternel. A ne jamais connaitre la sensation d’avoir des parents… Un sentiment brûlant monta en elle, de la colère, une émotion jusque-là jamais éprouvée.
- Vous… vous m’avez arrachée à mes parents !
- Parents est un bien grand mot étant donné que nos enfants sont élevés par l’ensemble de la communauté…
- Vous devriez avoir honte…
La jeune fille sortit de la pièce sans un regard pour la matriarche. Son pas rapide la conduit rapidement hors des bâtiments, s’accélérant la marche devint course. Sans savoir où elle allait Louise couru dans la forêt, il fallait qu’elle s’éloigne de cet endroit ! Sa course ralentis et la demoiselle fini par s’allonger dans l’herbe. La nature tout autour était apaisant et lui permit de remettre de l’ordre dans ses idées. Ayant fini par s’endormir la jeune fille fût réveillée par une sensation de brûlure au niveau de la cheville droite. Se demandant ce qu’il se passait elle se redressa et vit des lignes étranges se dessiner sur sa peau provoquant une douleur aigue au même moment. Une fois le dessin fini Louise regarda surprise le résultat, la brûlure s’apaisait mais était toujours présente. Se décidant à s’occuper de ça de jour et les idées claires elle finit sa nuit sous la pale clarté de la lune.
Le lendemain elle rentra néanmoins chez elle, après tout où pouvait-elle aller ? C’était ici qu’elle avait grandi, ici qu’on l’attendait, et même si on l’avait séparée de ses parents sa grand-mère avait fait en sorte qu’elle ne manque de rien. C’était sa seule famille… En entrant dans a pièce commune la jeune fille s’attendit à voir la matriarche furieuse. Il n’en fût rien la dirigeante semblait un peu soulagée de la revoir et parla simplement d’un ton neutre.
- Tu seras privée de repas jusqu’à demain.
Une bien maigre punition pour avoir fouillé dans son bureau et dormie à la belle étoile sans l’avis de personne. En croisant sa grand-mère plus tard dans la journée Louise la vit arrêter son regard sur sa cheville, sur la marque plus précisément. Pour la première fois elle vit la matriarche afficher une telle expression, un mélange de surprise et d’incompréhension.
- Viens avec moi.
La jeune nymphe obéis et la suivit jusque dans un coin des jardins.
- Où as-tu eu cette marque ?
- Cette nuit, ma cheville m’a brûlé et elle s’est dessinée.
- Sais-tu ce qu’elle représente ?
- Comment le saurais-je…
- C’est la preuve que tu es une élue… Tu as été choisie pour accomplir un devoir auquel tu ne pourras te soustraire, c’est un grand honneur.
En marchant dans les jardins elle écouta attentivement l’histoire d’Arméria, apprenant ainsi que celle qui l’avait élevée était la descendante d’une habitante qui avait quitté l’île durant la guerre. La jeune fille ne sut quoi penser de tout cela. Elle était… dépassée. Un jour viendrait où elle devrait partir pour l’inconnu et vivre seule dans un endroit d’où elle ne pourrait jamais partir. Cette perspective lui faisait peur et envie à la fois. La peur de l’inconnue et l’envie de voir enfin autre chose.
La vie repris son cours comme toujours, mais un matin, ouvrant les yeux dans sa petite chambre Louise vit quelque chose à ses côtés d’inhabituel. Un œuf, couleur sable, et bien gros pour un œuf. Elle posa la main dessus, il était tout chaud. Elle le veilla toute la journée sans bouger quand enfin il se craquela. S’attendant à voir un oiseau de belle taille en sortir la demoiselle fût bien surprise de voir une boule de poils en sortir. Une petite femelle Lynx roux. L’animal loin de se montrer reconnaissant de l’attention de la jeune fille qui lui tendait la main, se mit à gronder. Affolé probablement par ce monde inconnu. Lorsque la nymphe lui tendit la main le lynx la mordit. La nymphe ne bougea pas et continua de lui parler doucement. Le félin comprenant qu’il mordait un être inoffensif relâcha sa prise et vint lécher la plaie. C’est ainsi que Louise fit la connaissance de Nyx, une confiance mutuelle s’installa rapidement entre les deux êtres. Nyx beaucoup plus méfiante que sa maitresse avait tendance à vouloir la protéger.
Ayant compris que l’arrivée de Nyx signifiait un départ prochain Louise se décida enfin à trouver les dernières réponses. Aussi prit-elle la direction de la ville. Perdue dans ce monde inconnu la demoiselle repris son souffle dans un parc. Observant les enfants jouer en riant elle se mit à sourire. Soudain une fillette qui ne devait pas avoir plus de 10 ans s’étala à ses pieds. La nymphe réagit instinctivement et l’aida à se relever avec un sourire.
- Ça va ? Tu ne t’es pas fait trop mal ?
En la touchant la future gardienne eu la sensation que cette enfant était de sa race. La fillette lui sourit en retenant ses larmes.
- Je vais bien merci.
Elle avait des yeux bleus très doux et de longs cheveux blonds très clairs qui tombaient en cascade dans son dos. Absolument adorable. Louise sourit gentiment. La fillette lui prit la main et l’attira vers un bosquet.
- Comme tu es gentille je vais te montrer quelque chose.
L’enfant posa les doigts sur un bouton de fleur. En peu de temps elle ouvrait ses pétales. C’était bien une nymphe. Elle cueillit deux fleurs de camélia, une rouge et une blanche et les tendis à Louise.
- Les camélias sont mes fleurs préférées alors je t’en offre pour te remercier.
Une voix féminine appela, Luka. La fillette salua de la main notre demoiselle et s’élança vers un couple. Un homme aux yeux bleus comme elle, et une femme à la chevelure blond clair et aux yeux roses. Louise resta pétrifiée. Cette femme… ces mêmes yeux, ces mêmes cheveux, cette petite nymphe… Sa mère ! D’instinct elle fît un pas en avant pour aller vers cette famille qui était la sienne et qu’elle avait enfin retrouvé. Mais elle se résigna et les regarda s’éloigner.
En rentrant avec ses fleurs la nymphe se perdit dans ses pensées. Sa mère semblait heureuse, elle avait une adorable petite sœur. Et à voir le regard tendre de l’homme envers sa femme et sa fille, il devait vraiment les aimer. Pourquoi ne pas les avoir rejoints alors ? Sa mère avait dût beaucoup souffrir d’être séparée de son bébé, alors lui infliger une deuxième fois cette pertes au moment du départ pour Arméria serait bien égoïste. Autant être la seule à souffrir cette fois. En rentrant Louise découvrit que ses joues étaient humides, ainsi elle pouvait pleurer sans blessures physiques…
Bien sûr l’accueil de la matriarche fût plus que mauvais et la punition bien rude. Un vieil arbre de grande taille, presque mort, et il fallait qu’il fleurisse si elle voulait voir la punition levée. Louise travailla toute la nuit prêt de l’arbre, donnant toute l’énergie qu’elle pouvait. Au petit matin l’arbre fleurissait et la nymphe à bout de forces était allongée à son pied. La matriarche arriva et ne cacha pas sa surprise. Ne proposant pas son aide à sa petite fille qui devait assumer ses erreurs jusqu’au bout, mais elle s’assit à côté. Louise entama le dialogue d’elle-même.
- Mère, je l’ai vue. J’ai une adorable petite sœur. Et vous vous êtes trompée, il prend soin d’elles… Je pensais que vous seriez peut être soulagée de l’apprendre.
- Tu les as retrouvés et tu es pourtant revenue… Entre ce cœur et cette force je pense que tu es digne du rôle qui t’a été confié. Et tu as su lire l’inquiétude qui rongeait mon cœur…
Le départ se fit quelques jours après. Dès son arrivée sur l’île, Louise adopta le temple et en réserva une partie pour ses appartements personnels. Les jardins étaient en friche mais peu à peu elle les remit en état. Plantant çà et là des camélias en pensant à la petite Luka.



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Louise Sylfanir
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